Où Sylvain Thévoz, justicier pharisaïque, impénitent donneur de leçons, socialiste de l’heure des repas, tenant de cette gauche caviar si genevoise, islamophile de mes deux, se fait poète.
Le panégyrique de l’oppression des palestiniens, ce peuple si irrédentiste qu’il ne peut envisager la paix avec son voisin serait risible s’il n’était si obtus et, au fond, si cucul. La diabolisation des Etats-Unis serait amusante si elle n’était si aveugle et désinformée. La pesée des intérêts serait équitable, si elle n’était si sourde et tellement teintée de l’ignorance crasse et des slogans de son auteur.
Tout ça me donne une certaine nausée.