Lisa Mazzone est omniprésente.
Grâce à la complaisance servile des médias locaux, on la voit partout, on l’entend partout, on est assommé de ses discours aussi vains que prétentieux.
Elle appartient à la catégorie des Khmers Verts, écolos tendance radical-socialiste, les purs parmi les purs. Tout cela serait parfaitement insignifiant si la dame n’avait pas les dents qui raient en permanence le parquet, au point d’y laisser une marque quasi indélébile dans les esprits simples des représentants du bon peuple.
Déjà conseillère nationale, la voici qui avise de briguer la fonction de conseillère aux états. Elle sait tout sur tout, elle qui est née en 1988. A tel point que l’on se demande comment on a bien pu faire pour comprendre quelque chose au monde qui nous entoure avant son arrivée en politique.
Opportuniste en tout, sa dernière idée est de réhabiliter les objecteurs de conscience condamnés entre 1968 et 1973. Vous avez bien lu? Ces malheureux, condamnés entre quinze et vingt ans avant sa naissance à elle.
J’en tombe de ma chaise. L’électoralisme transpire de chaque mot qu’elle prononce.
Mais bon comme on le disait dans ma lointaine jeunesse, il n’y a que de sottes gens. Espérons qu’il ne s’en trouvera pas assez pour la réélire l’année prochaine. Car avec les Khmers Verts, on perd.