Décaillet vomit tellement l’Union Européenne qu’elle lui inspire de grandes envolées, lyriques, prophétiques et incantatoires.
Sous le titre « Le gisant et les fausses écritures » (il fallait le trouver, quand même) il nous livre un morceau d’anthologie digne des raclures que l’on trouve habituellement sur les tas de fumier. Une sorte de Nostradamus raté.
Tout cela serait risible si ce n’était aussi pathétique.
Comme je l’ai toujours dit, on a la presse que l’on mérite. Et les faux prophètes, aussi.
Ainsi soit-il.