Lisa Mazzone ne décolère pas, je pouffe

Le journal Le Temps d’aujourd’hui se fait l’écho de la colère de Lisa Mazzone à l’idée que la confédération apporte une aide au secteur des transports aériens qui pourrait échapper à des tentatives de référendum menées par son parti des Khmers Verts.

Je pouffe.

Je pouffe car elle argumente comme le reste de la gauche lorsqu’elle perd des élections. Elle se plaint en effet de n’avoir reçu les documents du débat parlementaire d’hier que deux jours ouvrables avant la session. Poverina!

Et elle y va d’un couplet à graver à jamais dans le marbre de la stupidité des donneurs de leçons:

«Dès lors, les conditions ne sont pas réunies pour mener un débat fondé. De toute évidence, le Conseil fédéral s’est déjà entendu avec les entreprises concernées et le parlement n’est appelé qu’à se prononcer de façon symbolique. Nous déplorons cette occasion ratée pour mettre le secteur aérien sur une voie respectueuse de l’environnement et des riverains»

La Khmère verte au clavier étincelant n’a pas encore compris qu’il ne suffisait pas qu’elle lance des incantations à tort et à travers pour que le parlement se rallie aux idées des écolos barjos. Elle accuse le gouvernement suisse de faire la sourde oreille à ses propositions.

Vraiment, je pouffe. Il faut qu’elle se recycle.

Trucs ecolos 410

Lisa Mazzone, les dents qui raient le parquet

Lisa Mazzone est omniprésente.

Grâce à la complaisance servile des médias locaux, on la voit partout, on l’entend partout, on est assommé de ses discours aussi vains que prétentieux.

Elle appartient à la catégorie des Khmers Verts, écolos tendance radical-socialiste, les purs parmi les purs. Tout cela serait parfaitement insignifiant si la dame n’avait pas les dents qui raient en permanence le parquet, au point d’y laisser une marque quasi indélébile dans les esprits simples des représentants du bon peuple.

Déjà conseillère nationale, la voici qui avise de briguer la fonction de conseillère aux états. Elle sait tout sur tout, elle qui est née en 1988. A tel point que l’on se demande comment on a bien pu faire pour comprendre quelque chose au monde qui nous entoure avant son arrivée en politique.

Opportuniste en tout, sa dernière idée est de réhabiliter les objecteurs de conscience condamnés entre 1968 et 1973. Vous avez bien lu? Ces malheureux, condamnés entre quinze et vingt ans avant sa naissance à elle.

J’en tombe de ma chaise. L’électoralisme transpire de chaque mot qu’elle prononce.

Mais bon comme on le disait dans ma lointaine jeunesse, il n’y a que de sottes gens. Espérons qu’il ne s’en trouvera pas assez pour la réélire l’année prochaine. Car avec les Khmers Verts, on perd.