Carlo Sommaruga, allié objectif du Hamas

Carlo Sommaruga s’est fait tout petit depuis le 7 octobre. Un tweet minuscule:

«Je dénonce et condamne les tirs de roquettes depuis Gaza sur Israël. […] Toute victime civile israélienne ou palestinienne est inacceptable»

Il cherche des excuses, assez faibles en réalité, puis qu’il est un soutien objectif du Hamas depuis des années. Il est allé plusieurs fois à Gaza, où il a rencontré des gens, mais

«(…) il y avait certainement des gens du Hamas, mais personne ne s’est présenté en tant que tel»

Quelle naïveté. Pour qui se prend-il? Et surtout, pour qui prend-il la population?

A-t-il prononcé un mot pour dénoncer les actes de terrorisme du Hamas? Il dit au contraire:

«que le Hamas est une organisation très fortement implantée dans la société palestinienne, avec une stratégie qui mêle activités sociales et programme politique (…) On peut condamner l’ensemble du Hamas, mais comme le disait Dominique de Villepin dans votre journal il y a une semaine, il restera sous une forme ou une autre un acteur incontournable pour construire la paix»

Le Hamas, acteur incontournable de la construction de la paix au Proche-Orient? Il est complètement à côté de la plaque et en dessous de tout.

L’incendiaire de la République

«Dimanche manif de “l’arc républicain” du RN à la macronie de Braun-Pivet. Et sous prétexte d’antisémitisme, ramène Israël-Palestine sans demander le cessez-le-feu. Les amis du soutien inconditionnel au massacre ont leur rendez-vous»
– Jean-Luc Mélenchon, incendiaire de la République

Les propos du grand incendiaire ont servi de justification à ses nervis gouroutisés de ne pas prendre part à marche républicaine contre l’antisémitisme de ce dernier dimanche.

Le raccourci est terrifiant de simplisme. En marchant hier, ipso facto, on est un ami du soutien inconditionnel au massacre. Et il se trouve des gens pour croire en un tel individu. Il semblerait que, même au sein de la France Incendiaire, certains membre de la direction ont trouvé que cela commençait à bien faire. Mais bon, tant que le gourou est là, rien ne changera.

Certains, dont je fais partie, ont été dérangés par le fait que le front national, dont l’antisémitisme de son fondateur Jean-Marie le Pen, ait participé à l’évènement. J’en fais partie, tant cette présence se situe dans la tendance actuelle des frontières de se refaire une virginité. Marie le Pen est-elle antisémite? On pourrait le croire, compte tenu de la famille au sein de laquelle elle a été élevée et éduquée.

Pour autant, fallait-il interdire à ces fachos de manifester? Le faire aurait consisté à se mettre au même niveau que l’incendiaire. Mais comme Elisabeth Borne, le pense que leur présence n’a trompé personne.

Et Mélenchon, de ses mots même, démontre que lui et ses disciples ne font plus partie de la République.

Mélenchon n’est plus un bouffon, il est l’indignité de la République

Poursuivant sa stratégie de recherche du chaos à tout prix, l’incendiaire en chef tente de se profiler comme un candidat crédible pour l’élection présidentielle de 2017. On se demande d’ailleurs si ses saillies ne sont pas causées par un vieillissement prématuré.

Aprés ses propos indignes sur le Hamas et concernant Yael Braun Pivet, on ne peu que croire à la sénilité

Né en 1951, il a donc 72 ans aujourd’hui.

S’il candidatait en 2027, cela lui ferait 76 ans bien tapés. Qui voudrait élire un vieillard à la fonction suprême – mis à part, bien sûr, ses suiveurs gouroutisés?

En plus, s’il a pu affirmer qu’il était la République et qu’il était “sacré” comme simple député, pour quoi se prendra-t-il si d’aventure il était élu?

Non, décidément, la France n’as pas besoin de lui, car il est indigne. Bonne retraite.

Monsieur Jean-Luc Mélenchon est un vieux con finissant

«Pendant ce temps Madame Braun-Pivet campe à Tel Aviv pour encourager le massacre. Pas au nom du peuple français!» – Jean-Luc Mélenchon, Incendiaire en chef

Décidément, l’incorrigible persiste et signe, dans une rhétorique d’une inqualifiable agressivité. On appréciera aussi la dialectique du gourou: Madame Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée Nationale, se rend en Israël pour réaffirmer le droit de ce pays à se défendre et, automatiquement et de la manière la plus vicieuse et la plus basse, il en fait une personne qui inciterait les massacres. 

Vraiment, Jean-Luc Mélenchon, en plus d’être l’incendiaire en chef d’un mouvement en perdition, est tout simplement un vieux con finissant, aux relents de l’antisémitisme le plus nauséabond.

Il se trouvera bien entendu une cohorte d’incendiaires pour soutenir ce discours. De plus jeunes cons, sans doute. Mais, comme le dit le proverbe d’un auteur anonyme, mais inspiré, 

«le pire con c’est le vieux con car on ne peut rien contre l’expérience» 

La France (insoumise) Incendiaire: les renégats de la République

Cela fait longtemps que je suis convaincu que LFI est davantage incendiaire qu’insoumise. A quelques trop rares exceptions près, ses membres pérorent et ressassent les éructations du guide, l’infâme Jean-Luc Mélenchon. Véritable leader minimal d’une gauche qui n’a plus rien de républicain, il envoie ses séides répéter ses sentences à tout bout de champ.

Depuis le 7 octobre dernier, ces incendiaires ont franchi une étape significative en direction du fond du fond, de la vase nauséabonde de la politique, de la moisissure des idées. Incapables de prononcer le mot “terroriste” s’agissant de l’action du Hamas, ils s’enferrent dans une rhétorique putride. Ils parlent d’actes de guerre, renvoient à l’extrémisme du gouvernement israélien, éprouvent de la compassion pour « toutes les victimes”, se voient en piliers du “droit international » mais, surtout, évitent soigneusement de répondre à toutes les questions qui pourraient mettre en cause le guide suprême…

L’union artificielle de la gauche, la “NUPES”, est d’ailleurs en train d’en crever – et c’est une excellente chose. Car on ne peut discuter avec des extrémistes, ni avec des sectaires gouroutisés par un Mélenchon qui s’ennuie dans sa retraite et n’a rien de mieux à faire que d’allumer des feux partout.

Ses laquais Panot, Bompart, Chikirou, Obono et autres sont à leur parti et à la gauche ce que les scientologues sont à Ron Hubbard ou les islamo-gauchistes aux frères musulmans. Des disciples aveugles qui voient davantage d’intérêt à la décomposition de la République qu’à sa pérennité. Dans ce contexte, le silence des écologistes est accablant.

Ils sont les renégats de la République, les apostats de toutes les valeurs humanistes, les fossoyeurs de tout débat d’idées et les apologistes du néant et du chaos. La honte de la France républicaine, en quelque sorte.

A la bêtise d’une droite retrouvée correspond l’arrogance d’une gauche perdue

Il fallait s’y attendre. La bagarre du budget 2016 de la Ville de Genève ne fait que commencer. Une droite retrouvée, confrontée à une gauche qui ne réalise pas encore tout à fait qu’elle est perdue, et les conflits stériles reprennent, mais à l’inverse de ce que le conseil municipal a vécu jusqu’à l’ouverture de la présente législature.

On résume. Jusqu’à aujourd’hui, la majorité «alternative» discutait toute seule du budget et se faisait un plaisir de contrarier la minorité de droite. Aujourd’hui, c’est désormais le contraire. La droite a décidé de prendre Sandrine Salerno à partie et ne veut plus avaler de couleuvres. Les invectives reprennent et, surtout l’arrogance de cette gauche qui a perdu sa majorité et n’a pas encore réalisé qu’elle allait devoir changer sa manière de faire. Elle ne pourra plus faire passer tout et n’importe quoi comme avant. Elle doit apprendre à négocier, à composer avec des adversaires politiques qui sont prêts à en découdre.

Et le désastreux résultat est là. L’arrogant Carrasso, chef du groupe socialiste du conseil municipal, nous déclare, tel une vierge effarouchée, que la «droite élargie est irresponsable et paresseuse, car elle refuse de travailler sur ce projet en commission». Et la droite, toujours aussi bête, donne des leçons.

Il convient de renvoyer cette droite stupide et cette gauche égarée dos à dos. Ils doivent apprendre à négocier, à pactiser, à accoucher d’un cadre budgétaire concret qui corresponde à la fois aux besoins sensés de la municipalité et aux réalités conjoncturelles. Le mariage de la carpe et du lapin, en quelque sorte.

Malheureusement, il y a fort à parier que, associée aux conducators populistes du MCG et de l’UDC, la droite traditionnelle refuse tout net une telle possibilité. Quant à la gauche, qui n’a rien à envier à la droite en matière de courte vue, pourra-t-elle rabattre un peu son arrogance? On peut légitimement en douter.

Budget 2016 = mission impossible, probablement.