Où l’on apprend que le Margoulin a passé un “accord secret” avec les dirigeants d’Uber pour “sauver” l’entreprise à Genève.
Décidément, Margoulin un jour, margoulin toujours.
Où l’on apprend que le Margoulin a passé un “accord secret” avec les dirigeants d’Uber pour “sauver” l’entreprise à Genève.
Décidément, Margoulin un jour, margoulin toujours.
Un certain journaliste, très imbu de sa personne, nous assène ses idées depuis quelques décennies. Sa très haute estime de lui-même, dont il rabat les oreilles de ses lecteurs (on appréciera l’oxymore) semble l’autoriser à critiquer à peu près tout, sans beaucoup de discernement.
On remarquera en particulier son admiration de l’Allemagne et de ses régimes passés, son antiaméricanisme primaire, ses longs panégyriques centrés sur la droite nationaliste et souverainiste, ses apologies des frontières, sa détestation de l’Union Européenne, son admiration pour la gloire passée de la «DDR» (en fait la république «démocratique» allemande – c’est moi qui mets les guillemets) et, plus récemment, une forme ambiguë de soutien à la Russie poutinesque – alimentée surtout par l’antiaméricanisme mentionné plus haut.
Il y va aussi de ses pontifiants et bons conseils à toutes celles et ceux dont il pense qu’ils devraient en profiter. Ils sont nombreux, apparemment.
En bref, il est le petit télégraphiste de tout et de tout le monde. On imaginerait volontiers qu’un tel olibrius se vouerait à une carrière politique brillante. En effet, la droite populo-nationalisto-blochéro-souverainiste manque de bras.
Mais non. Il préfère la critique ronchonne à l’action. Il est vrai que cette dernière implique d’avoir quelques idées, si possible originales, plutôt que soutenir les causes les plus improbables.
On peut cependant aisément imaginer que la droite citée plus haut venait à prendre un certain pouvoir, il en deviendrait un fervent laquais. Tout cela n’est vraiment pas beau, voire carrément vilain.
Le nombrilisme politico-journalistique genevois est sidérant, surtout lorsque Monsieur Pascal Décaillet brocarde ses têtes de turc, anciennes et nouvelles. Dans cette dernière catégorie, on notera l’arrivée tardive de Madame Nathalie Fontanet, à qui notre échotier de quatrième zone reproche de mener une politique «de gauche».
On aimerait bien l’y voir, lui, aux manettes du canton. Mais il préfère rester aux marges, ce qui ne lui fait courir aucun risque, sinon celui de se couvrir lui-même d’un ridicule avéré.
Tant pis pour lui.
Pascal Décaillet a ses lubies. La dernière en date est d’affirmer que “la démocratie élective vit ses dernières décennies”. On se demande où il va chercher cela, mais c’est son thème de prédilection depuis quelque temps. Il faut bien meubler le vide sidéral ambiant.
Mais il est comme Donald J. Trump, finalement. Il répète et caquète, ad nauseam, ces nullités.
Et finit par vouloir nous faire croire que ce sont de véritables vérités.
Tout cela est pathétiquement vain, inutile et dénué de fondement. A l’instar de l’auteur de ces péroraisons.
C’est fait. Maudet et ses disciples ont fondé “l’élan radical”, parti fidèle à l’idéologie du margoulin.
Idéologie? Vraiment?
Maudet restera dans l’histoire de la très petite république genevoise comme un menteur et un dissimulateur. Il y en a néanmoins qui veulent perpétuer cette “idéologie”. Ce serait à tomber de rire si ce n’était le signe d’un coupable aveuglement, comme celui dont notre margoulin fait preuve depuis le début de son “affaire”.
Au mois de mars prochain, il conviendra que les électeurs genevois le renvoient à ses petites affaires et, surtout, à chercher du travail. Ce sera un excelle nt débarras pour la république.
L’affligeant vote du «Brexit» met en exergue l’ignorance de la majorité de britanniques, encore accrochés au rêve d’un empire disparu depuis longtemps. Et égarés de la campagne du «Leave» ont fait miroiter son retour à des classes laborieuses frappées de cécité et de surdité.
Le plus consternant est de voir les réactions que ce vote provoque en Suisse. La totalité des crétins alpestres et UDC en tous genres nous répètent à l’envi qu’ils avaient raison, depuis le début. Bon.
Mais le pire se manifeste dans les discours ampoulés de Pascal Décaillet, sa Sainte Suffisance Journalistique qui, depuis la fin de la semaine dernière, nous la ramène sur les thèmes éculés des frontières, «des marchés ou de la patrie» (comme si l’on pouvait opposer les deux. Et puis, il y a tous ces autres journaleux de quinzième zone qui dispensent leurs bons conseils à l’Union Européenne… Le plus récurrent de ces appels consiste à engager l’Europe à s’inspirer du modèle de démocratie directe à l’helvétique. Ca doit les rassurer de pouvoir se dire qu’il n’y en a point comme nous, et que notre système, qui pourtant paralyse toutes possibilités de changements, pourrait être exporté ailleurs.
Comme ça, on devrait se sentir moins seuls, et surtout moins cons. En clair, l’ethnocentrisme comme réponse, comme auto-justification de sa propre stupidité.
Dans un récent billet posté sur la plate-forme des blogs de la Tribune de Genève, Pascal Décaillet s’en prend à Alexandre de Senarclens, candidat PLR au prochaines élection nationales.
Sa Sainte Suffisance journalistique juge Alexandre de Senarclens emprunt d’un “parfum de rue des Granges”.
Mais au fond, ce n’est pas le candidat PLR qui dérange Décaillet, non. Ce qui le dérange par-dessus tout, c’est que pour lui, les portes des immeubles patriciens de la rue des Granges, côté pair et côté impair, sont et seront toujours fermées.
Saint Pascal jalouse cette petite aristocratie de province, qui vit repliée sur elle-même et ne s’ouvre que très rarement, sinon jamais, aux intrus comme lui. Surtout s’ils sont d’origine, de tradition ou de religion catholique.
Donc, comme il ne sera jamais invité à la rue des Granges, il ne lui reste que le sarcasme et le persiflage. Du très grand Décaillet.
becurioustv est une nouvelle chaîne de télévision, créée, animée et gérée par l’épouse d’un milliardaire vaudois. Bon.
Cette chaîne de télévision nous propose toutes sortes de programmes, plus ou moins niais, voués à divertir un public lassé des programmes du service public (on le comprend bien) et des autres télévisions régionales (ça, on le comprend bien aussi).
Mais le pire, c’est que becurioustv, passés les premiers moments de curiosité, lasse davantage et plus rapidement que toutes les autres chaînes de télévision, locales ou nationales réunies. Peuplées d’énergumènes agités et égocentriques, les émissions de becurioustv sont comme une sorte de long naufrage. On notera tout particulièrement Fred Valet en bouffon énervé et énervant qui a oublié de prendre son Xanax, qui tourne autour des invités de la propriétaire-animatrice, interjetant des propos aussi incohérents que stupides, en croyant être drôle.
La palme est remportée haut la main par cette émission qui dit tout dans son titre “La vie, la mort, la coiffure”, animée par Alain G. et Ariane F. Vautrés dans un lit improbable dans lequel on ne veut pas imaginer (et heureusement) ce qu’ils on pu y faire, nos deux comparses se complaisent dans la médiocrité, le “bitching” (discipline consistant à dire pis que pendre de ceux que l’on aime ou n’aime pas) le colportage mercantile et, finalement, dans une vacuité insondable. Le pire est cela a l’air de les faire rire.
En bref, ça n’en finit pas de sombrer dans la bêtise, le people de banlieue et au fond, dans l’ennui le plus total.