« Pour un fasciste le problème n’est jamais de présenter la vérité au public, mais de comment employer au mieux les nouvelles pour duper le public de sorte qu’ils donnent au fasciste et à son groupe plus d’argent et plus de pouvoir » – Henry A. Wallace
La condamnation à 19 années supplémentaires de prison d’Alexeï Navalny est consternante. Le régime fasciste de Vladimir Poutine, lui, est atterrant.
Car qui est extrémiste, vraiment?
L’opposant qui tente de communiquer ses opinions ou le dictateur omnipotent qui ne songe qu’à les faire taire, ainsi d’ailleurs que toutes le voix qu’il considère comme discordantes?
La voix d’un détenu sous haute sécurité ou celle d’un despote va-t-en guerre qui justifie celle contre l’Ukraine au nom d’une lutte contre les néonazis?
Décidément, ce dictateur s’apparente à la lie de l’humanité.
Mais il se trouvera sans doute de bons helvètes, confortablement installés dans leurs salons, pour affirmer que la Russie est le dernier rempart qui nous protégera du grand satan américain. Si, si, il en existe. Et aussi quelque journaliste de quatrième zone pour balancer des incantations anti-Otan et pro “DDR” (cette dernière ayant clairement fait partie des états fascistes post seconde guerre mondiale).
On pourra compter sur quelques élues ou élus du Front National ou de La France Incendiaire ou quelque agitée du bocal locale pour dégoiser les pires stupidités.
Ainsi soit-il.