Dire l’indicible

Le 7 octobre 2023, cinquante ans exactement après la guerre de Kippour, le Hamas a lancé une offensive sans précédent sur le territoire de l’état d’Israël. Cette incursion, à ce jour, a coûté la vie à plus d’un millier d’Israéliens, vieillards, femmes, enfants, bébés, violés, tués, mutilés, brûlés et j’en passe sans doute de bien pires. Sans compter les dizaines d’otages amenés de force à Gaza.

Le nombre de ces morts est le plus élevé depuis l’Holocauste. Ces morts sont les victimes de la haine du Hamas et de ses membres envers le peuple Juif et l’états d’Israël dont ils souhaitent explicitement l’annihilation.

Dans ces actes, il n’y aucune revendication territoriale ou nationale. Il n’y a que l’intention de tuer. Ces actes n’ont aucun rapport avec les légitimes revendications du peuple palestinien à disposer d’un état indépendant et vivant dans des frontières sûres.

Les membres du Hamas qui ont participé à ces massacres ne sont ni des combattants, ni des guerriers. Ils ne sont que des tueurs sans honneur ni scrupules.

Quant à ceux qui, en France, ont considéré que ces évènements ne justifiaient pas la qualification d’actes terroristes, ils sont un déshonneur pour la République. La France dite «insoumise» s’est en réalité vautrée devant le Hamas et ses tueurs avec une complaisance que l’on n’ose qualifier.
Une déclinaison explicite de l’islamo-gauchisme. 

En Israël, on ne pourra que souhaiter que ce drame conduise à la destitution de Benjamin Netanyahu qui a préféré utiliser Tsahal pour la défense de colons irrédentistes que de protéger les frontières du pays.

Tout cela donne la nausée.